Depuis que j'étais libre je ne savais plus quoi faire.
Ce matin la je courrais sur les toits de hurlevent comme à mon habitude lorsque je vis un worgen. J'aimais voir que je n'étais pas le seul à avoir été touché par cette malédiction. Alors que je descendais pour aller lui parler, il se mit à courir à travers la ville. Je me mit à le suivre. Il faisais froid et il pleuvait, c'est rare à hurlevent. Il sortais de la vieille ville et rentrais dans le quartier commerçant toujours bondé. Il zigzaguais entre les gens comme les mouflettes entre les arbres dans les forêts de Gilnéas, comme si il avait fait sa toute sa vie. Il sortie de hurlevent à toute vitesse et couru sur le chemin qui rejoignais comté de l'or. arrivé a comté de l'or sur la petite place avec la forge et l'auberge, à l'intersection il pris à gauche vers les carmines. Il était assez près pour que je ne le perde pas de vue mais assez loin pour ne pas me repairer. Au lieu de continuer vers les carmines il entra dans le camp de Bûcherons du Val d'Est. Il se dirigeai vers la plus grande maison et passais sous un tronc d'arbre creusé dans sa longueur comme un tunnel. Le worgen entra. Je restais à l'écart près d'un buisson vert comme une punaise, j'étais presque invisible grâce à ma tenue de plaque en gangrefer. Je regardais la maison jusqu'à ce qu'un grognement derrière moi me fasse virevolter comme un réflexe animal. Un worgen ce tenait devant moi prêt a me sauter à la gorge au simple mouvement.

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Citation :

En ce qui concerne l'histoire de votre personnage, nous vous conseillons de ne pas en dévoiler tout le contenu d'une traite lors de votre candidature. Laissez la possibilité à votre héros (héroïne) de pouvoir rebondir sans cesse et ainsi ajouter de la profondeur à son background.

Je n'avais pas vu cela donc rectification ! je pense que peu de personnes ont lu donc sa devrais aller.

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Amberline s’avança doucement près du petit nouveau et sourit, il ne semblait pas avoir réalisé qu’ils étaient 2…

La chasseuse apprécia ce petit cours de perfectionnement avec Kurth, même s’il n'était pas son beta, il restait tout de même un excellent entraîneur. Tous petits trucs étaient toujours les bienvenus.

-Bien, Amberline, voila comment nos sens, sous cette forme, peuvent nous aider à traquer une proie.

Sous sa forme worgen, elle se secoua pour retirer quelques brindilles encore pris au piège dans sa chevelure/fourrure. Son oreille se dressa à la suite de la discussion en cours.

-Je te laisse reprendre ton apparence humaine si tu le souhaites.

-Et faire plus ample connaissance avec cette nouvelle espèce de buisson.

Elle étouffa un petit rire, amusée, et reprit rapidement sa forme humaine, bien apprécié dans le cas d’un contact social.

Plus de poils, plus de griffes que de la peau rose et des ongles bien courts. La crinière ébouriffée redevint à la limite de bien « coiffé » et les yeux perçant retrouvèrent leur douceur habituelle. Elle tourna les yeux vers le "buisson".

- Et bien…Pour avoir osé ce rendre jusqu’ici sans être tombé sur notre « bull dog » faut ce compté chanceux… ou peut être un brin talentueux.

Elle l’observa de la tête aux pieds.

- Qui es-tu et que faisait tu à suivre l’un des nôtres comme ça ?

-Tu as perdu un morceau de ton armure brillante, dans les buissons, worgen?

La voix sortait de nul part, ni à gauche ni à droite… peut-être en haut…
Puis un worgen sortie de nulle part s’adossa contre l’arbre à gauche du buisson. Il était déjà plus doué que moi pour se cacher.

-Bien, Amberline, voila comment nos sens, sous cette forme, peuvent nous aider à traquer une proie.

Alors comme ça le worgen menaçant s'appellai Amberline. Une femelle. Traqué par une femelle… voila pourquoi je n’aime pas les maraudeurs…ils sont lâches, toujours dans le dos, peut-être la peur d’affronter en face. Enfin je dis ça mais j’espionne, enfin j’espionnais jusqu'à ce qu’elle me trouve comme un simple gibier.

-Je te laisse reprendre ton apparence humaine si tu le souhaites.

Wohh... sa existe des personnes aussi belle et aussi bestiales ?

-Et faire plus ample connaissance avec cette nouvelle espèce de buisson.

Grrr… Un buisson… il va y goûter au buisson ! J’aurais bien eu envie de l’étriper mais il fallait se rendre à l’évidence à deux contre moi je n’avais aucune chance… C'est pourquoi j’opterais plutôt pour la présentation du buisson.

- Et bien…Pour avoir osé ce rendre jusqu’ici sans être tombé sur notre « bull dog » faut ce compté chanceux… ou peut être un brin talentueux.

Un bull dog ? Même pas vu... mais bon on va éviter d'en parler si sa peut m'aider.

- Qui es-tu et que faisait tu à suivre l’une des nôtres comme ça ?

-Ahh c'était une femelle ?! Sinon c'est un énorme malentendu, je suivais juste votre amie mais sans aucune mauvaise intention, je voulais lui parler quand elle s'est mise à courir, je l'ai suivie et me suis donc retrouvé ici. Sinon je m'appelle Bælack Woodlock, pour me faire pardonner je pourrais peut-être vous aider ? Votre meute a un nom ? Un but précis ? Je peux combattre vous savez !

Amberline fronça quelque peu les sourcils, qui aurait l’idée de suivre un inconnu sur son territoire sans s’informer d’avance…

- Bon… non non c’était bel et bien un male… les apparences peuvent être trompeuses lorsque nous sommes tout en poil.

- Nous sommes de la meute Sombrecrin, tu en as peut être entendu parler? Pour ce qui est de savoir combattre… j’aimerais avant tout en savoir plus sur toi. Ce n’est pas pour paraître impétueuse… mais on reste quand même sélectif dans les gens choisis...

La chasseuse tenta de ne pas avoir l’air trop méchante, mais elle n’avait pas tord. Les gens qui se joignaient, devaient aussi se prouver.

Amberline recula et s’appuya contre l’arbre.

- Alors voila… laisse moi jouer les curieuses, messire Bælack Woodlock. Qui est tu…d’où viens tu… et surtout, si tu es si intéresser à te battre avec nous… que peux-tu nous apporter, tout autant que penses-tu que nous pouvons t’apporter ?

- Pour avoir suivit l’un des notres, ton besoin de devoir lui parler, tu dois chercher quelque chose non ?

Elle arrêta de monologuer, ce n’était pas tout à fait son genre, elle espéra surtout que le visiteur serait à la hauteur des questions posés.

Ahh alors ma première intuition était la bonne !

- Nous sommes de la meute Sombrecrin, tu en
as peut être entendu parler? Pour ce qui est de savoir combattre…
j’aimerais avant tout en savoir plus sur toi. Ce n’est pas pour paraître
impétueuse… mais on reste quand même sélectif dans les gens choisis...

La meute sombrecrin... ce nom m'est familier.

- Alors voila… laisse moi jouer les
curieuses, messire Bælack Woodlock. Qui est tu…d’où viens tu… et
surtout, si tu es si intéresser à te battre avec nous… que peux-tu nous
apporter, tout autant que penses-tu que nous pouvons t’apporter ?


-La meute sombrecrin ? Jamais entendu parler désolé.

Je ne rappel plus ou est-ce que j'avais entendu ce nom...

-Sinon je suis né à Gilnéas comme beaucoup d'entre nous. Je me bagarre depuis toujours mais ma formation de guerrier est toute ressente. "dis-je en me raclant la gorge".
-Disons que mon caractère m'a valu quelques allés retours en prison et que je suis libre depuis très peu de temps. "l'air gêné". Par contre ne comptez pas sur moi pour rester loup car j'ai disons quelques problèmes avec ma forme... Mais pour ce qui est de combattre, sans me vanter je suis né pour sa.

Je marquais une petite pause, le temps de reprendre mon souffle.

-Je peux combattre tous les type d'ennemie que sa soit les chiens de réprouvés ou des ennemis de la horde, j'aime sa le sang, la sueur et les tranchants des lames. Quand à ma raison précise d'avoir suivi l'un des votre c'est que...

j'hésitais

-Voila je cherche à dompter la bête en moi donc je demande l'avis des autres de mon espèce. Et celui que j'ai suivi avais l'air de maîtriser donc je me suis dit qu'il devrais pouvoir m'aider. Mais je suis tombé sur encore mieux vu qu'une meute entière pourrais m'aider ! Enfin si vous m'acceptez.

La chasseuse prit le temps de bien l’écouter, une chose qu’elle savait faire plutôt bien. Elle comprit qu’il en était au même point qu’eux à une époque pas si lointaine. Elle agitait la tête pour montrer qu’elle suivait tout en restant silencieuse.

- Si je peux me permettre, le contrôle de la bête en soi… on peut aider mais il n’y a que toi, qui peux y faire quelque chose. En décidant de la laissez te diriger ou de bien la tenir en laisse.

Elle posa la main sur son menton, réfléchissant à la présence du jeune homme devant elle, serait il à la hauteur de la meute?...

- Tu sais… faire partie d’une meute c’est plus « exigeant » que bien des gens peuvent pensés. Premièrement, il faut savoir que les dirigeants, qu’on appel les Alphas, on le droit voir… la tâche d’être souvent très sévère et de n’accepter aucun comportement qui dérouteraient la meute et les siens du chemin qu’on a choisi.

- Chacun d’entre nous à sa place et doit savoir la tenir. Nous avons des bêta, voir sous officiers qui veillent nuit et jour pour que ce soit tenu. Chacun d’entre eux vie pour la meute et surtout est prêt à mourir pour elle.

Elle perd son doux sourire et le fixe fermement, sérieusement. Son appartenance à la meute l’a rendu bien plus attaché à celle-ci qu’elle ne l’aurait cru. Il n’était pas question de permettre un débalancement quelconque dans ce qu’elle appelait depuis un bout maintenant, son chez elle.

- Bælack… Te sens-tu capable de vivre au sein d’une communauté tressé bien étroitement? D’obtempéré aux ordres, qu’ils soient aboyés ou dialogués très doucement? Et surtout… de vivre et mourir pour chacun de ses membres?

- Si je peux me permettre, le contrôle de la bête en soi… on peut aider mais il n’y a que toi, qui peux y faire quelque chose. En décidant de la laissez te diriger ou de bien la tenir en laisse.

Enfin des personnes qui veulent bien m'aider ! Mais on dirait qu'elle doute de moi.

- Tu sais… faire partie d’une meute c’est plus « exigeant » que bien des gens peuvent pensés. Premièrement, il faut savoir que les dirigeants, qu’on appel les Alphas, on le droit voir… la tâche d’être souvent très sévère et de n’accepter aucun comportement qui dérouteraient la meute et les siens du chemin qu’on a choisi.

- Chacun d’entre nous à sa place et doit savoir la tenir. Nous avons des bêta, voir sous officiers qui veillent nuit et jour pour que ce soit tenu. Chacun d’entre eux vie pour la meute et surtout est prêt à mourir pour elle.

-Et bien... disons que mon côté humain n'a jamais reçu d'ordre mais il y a un temps pour tout. Pour la délinquance, pour la liberté et pour l'ordre. Quand a la bête en moi c'est un loup prêt à être soumis à son alpha.

Soudain ses traits devinrent...pas agressifs mais sérieux et fermes. Comme si l'information à venir étais primordiale.

- Bælack… Te sens-tu capable de vivre au sein d’une communauté tressé bien étroitement? D’obtempéré aux ordres, qu’ils soient aboyés ou dialogués très doucement? Et surtout… de vivre et mourir pour chacun de ses membres?

Blam... cette phrase était tombé d'une traite comme un marteau sur une enclume. Pour une fois on comptais sur moi... et pas pour une broutille... il fallait obéir aux ordres, respecter la hiérarchie et être prêt a mourir pour... pour... pour mon PEUPLE !!!

- Oui j'en suis capable. Mais vous, êtes-vous prêts à m'accepter ?

- Oui j'en suis capable. Mais vous, êtes-vous prêts à m'accepter ?

La chasseuse le fixa un peu plus longuement et sourit par la suite, se laissant glissé de sur son rocher où elle avait été assise tout le long de cette discussion.

-T'accepter? Si tu savais le genre d'énergumène qu'on héberge... Allons, j'aime bien ton approche, je vais demander à un de nos dirigeant de te donner ta chance. Chacun y a droit non?

Elle marcha lentement vers la tanière et s'arrêta pour regarder son compagnon de conversation.

- Allez suit moi, je vais demander à Kurth son opinion, tu sais le worgen qui était avec moi plus tôt?

Elle leva le nez comme pour renifler l'air mais c'était plus pour voir si le bêta se cachait dans les arbres, elle se concentra légèrement pour communiquer avec lui grace au don qui reliait les loups, qui avait passé l'épreuve, entre eux.

Spoiler:

Elle fit signe à Baelack d'attendre un petit moment, le temps qu'elle aie sa réponse.

-Si tu te montres incapable de maitriser ton loup, et que tu t'avises de porter la main, sur l'un des miens, tu mourras.

Brrr. Un frisson me parcouru le dos et fit se redresser les cheveux de ma nuque. Son regard étais imposant, presque effrayant. Ce devait être un meneur.

-Mais en attendant, faisons gage de plus d'hospitalité, suis Amberline et installes toi à l’intérieur.

Je suivis la femme et entrais dans la maison qui me surplombait depuis le début de notre rencontre.

En entrant je pus constater que beaucoup de loups passaient par ici avec toutes les traces de griffure de terre et les poils coincés dans les fissures du plancher. Sa me plaît.

Nous nous approchions d'une table lorsque je remarquais qu'on me regardais de tous les côtés.
Je m'assis et attendis qu'Amberline entame la discussion